romain

Enregistrement Aencre – V’la l’bon vent 

Un extrait de cet album est disponible dans l’onglet playlist – morceau numéro 40

Musiciennes :

Adeline Dillenseger
Elisabeth Kurst

Technicien :

Romain Muller : Prise de son / mixage @ Studio 

Le projet :

Le duo féminin Æncre distille une musique née de l’Atlantique Nord entre tradition Française, Celtes, Québécoise etAmericana. Ces multi-instrumentistes allient des arrangements percutants de chansons traditionnelles Francophones avec une sensibilité contemporaine emprunte de folk, de rock et de blues.
Sur scène, les deux musiciennes nous offrent un travail d’artisan. Tout est réalisé à la main et au pied avec soin en faisant la part belle à une ambiance acoustique qui se veut chaleureuse authentique et entraînante.
L’alchimie de la guitare et de l’accordéon est à la fois puissante et poétique. Les flûtes nous transportent entre la mélancolie d’une brise légère et l’ivresse des vents du grand large. Si la podorythmie et le bodhran nous surprennent et nous entraînent au détour d’un battement de cœur, les voix, elles, transportent des textes venus des temps d’antan dans une bourrasque à la fraîcheur terriblement efficace.
Æncre, c’est l’ancre que l’on lève pour aller découvrir de nouveaux horizons, l’encre qui a rendu immortels les récits d’autrefois.

Enregistrement Voces Suaves – Arte concert @ Les Dominicains 

Le projet :

Voces Suaves aux Dominicains de Guebwiller, Haute-Alsace

« Nel mezzo del cammin di nostra vita » (Au milieu du chemin de notre vie) est le premier vers du chant de l’Enfer, première partie de la Divine Comédie de Dante Alighieri. C’est ce vers qui inspire à l’ensemble bâlois Voces Suaves le programme de leur nouveau spectacle, joué ici au couvent des Dominicains de Guebwiller, magnifié pour l’occasion par une création mapping inédite.
L’ensemble a sélectionné un corpus d’œuvres essentiellement de compositeurs de la renaissance italienne et des débuts du baroque, un programme axé autour des madrigaux sacrés et profanes.
Le madrigal est, au temps de la Renaissance, une écriture aventureuse et novatrice où les compositeurs cherchent le meilleur moyen de mêler poésie et musique. Ces madrigaux dialoguent ici avec des extraits lus de la Divine Comédie en Italien.
La première partie du programme s’intitule « Visioni infernali » (vision de l’enfer). En passant les portes de l’Enfer, Dante décrit les sons. Cette description entre en résonnance avec le madrigal de Luzzaschi « Quivi sospiri », dont le dernier vers est commun au premier vers d’un madrigal de Pietro Vinci. Des madrigaux d’Arcadelt et de Verdelot viennent compléter cette description de l’Enfer, décrivant les tourments induits par l’amour.
Dans la deuxième partie, le purgatoire est dépeint par les harmonies de Gesualdo et le psaume « Laboravi in gemitu meo » qui évoque les souffrances des âmes à la recherche de purification et de la repentance de leur pêchés.
La dernière partie, Le celesti armonie, raconte l’ascension au paradis à la rencontre de la Vierge Marie. Cette vision est décrite par les vers de Dante, les madrigaux de Claudio Merulo et de Joanne Metcalf. Le programme se termine par la musique de Monteverdi, évoquant les sons célestes du paradis.

La proposition de répertoire de l’ensemble Voces Suaves cherche à retranscrire cette vision sonore des trois royaumes. En faisant se répondre extraits de la divine Comédie et madrigaux, l’imaginaire du spectateur est sollicité. Une création mapping vient compléter l’expérience musicale, qui met en lumière cette vision dantesque de la musique et fournit une interprétation iconographique contemporaine des trois royaumes. Musiques et images se répondent dans le couvent des Dominicains, endroit même où il y a des siècles, des moines ont certainement glosé sur ces vers et craint la vision de l’au-delà proposée par Dante.

Enregistrement Sollazzo – Arte concert @ Les Dominicains

Le projet :

L’ensemble Sollazzo aux Dominicains de Guebwiller, Haute-Alsace
Amour sacré, amours profanes au Moyen-Âge

Pour son concert au couvent des Dominicains de Haute-Alsace, l’ensemble Sollazzo a construit un programme composé d’œuvres romantiques de la fin du Moyen-Âge dans lesquelles se reflète un amour incessant et pur, frisant l’obsession.

L’ensemble Sollazzo a été fondé à Bâle en 2014 et rassemble des musiciens ayant une passion pour les répertoires de la fin du Moyen-Âge et de la Renaissance.
L’ensemble s’enrichit des différents milieux musicaux dans lesquels ses membres ont évolué : alors que certains sont issus de familles de musiciens spécialisés en musique ancienne, d’autres ont trouvé leur vocation à travers la musique classique, folklorique, le théâtre ou même le music-hall.
Ils sont tous issus de formations musicales renommées.

« Article 30 : Un véritable amoureux est constamment et sans repos possédé par la pensée de sa bien-aimée ». Cette maxime écrite au XIIe siècle par Capellanus définit l’un des traits caractéristiques de l' »amour courtois » : une adoration constante, qui frise l’obsession. L’ensemble Sollazzo s’est plongé dans l’abondant répertoire de la poésie amoureuse médiévale pour y trouver des œuvres dans lesquelles cet amour et cette adoration sincères peuvent être ressentis.
À travers les œuvres de compositeurs tels que Matteo da Perugia, Paolo da Firenze, Giovanni da Cascia ou Jacob de Senlèche, l’ensemble vous invite pour un voyage à la recherche de l’Amour pur au temps du Moyen-Âge.

Enregistrement Dulcis Melodia – Arte concert @ Les Dominicains 

Le projet :

Dulcis Melodia aux Dominicains de Guebwiller, Haute-Alsace
Souffle nouveau dans la musique strasbourgeoise du XVIIe siècle

L’ensemble Dulcis Melodia travaille à la redécouverte de la musique baroque rhénane.
Sa nouvelle création s’axe sur la musique strasbourgeoise du XVIIe siècle, moment où l’Italie fait souffler un vent créateur sur toute l’Alsace. Une musique qui s’accordera à merveille avec le cadre atypique du couvent des Dominicains de Haute Alsace, à Guebwiller, dans le Haut-Rhin.

C’est probablement une volonté de faire sortir la musique baroque d’un « système » apparemment établi qui provoqua la création de l’ensemble Dulcis Melodia en 2007. Un très fort désir de travailler dans un cadre à la fois souple et rigoureux fixa d’emblée une méthode de travail basée avant tout sur la mise en valeur des répertoires abordés, toujours puisés dans l’immense corpus des compositeurs « oubliés »

Bien ancré dans sa région de coeur – l’Alsace – Dulcis Melodia se lance actuellement dans la remise en valeur de la musique baroque rhénane, un répertoire totalement négligé de nos jours, mais qui se révèle être d’une inestimable richesse.

C’est dans ce contexte que Dulcis Melodia nous propose une nouvelle création axée sur la musique strasbourgeoise du XVIIe siècle, au moment où l’Italie fait souffler un vent créateur sur toute l’Alsace. Au centre de ce programme qui s’articule autour de la voix et d’instruments à vent (dont le cornet à bouquin qui connaît alors ses heures de gloire) on découvrira, dans une alternance subtile de timbres, 2 recueils très intimement influencés par l’Italie : Sacrarumlaudum (1643) de David Thoman, recueil strasbourgeois constitué de motets (essentiellement à deux voix) très directement inspirés par les œuvres italiennes de l’époque (Alessandro Grandi en particulier); « Codex Rost » de Franz Rost, recueil qui rassemble des pièces allemandes et surtout italiennes, dont une grande partie sont anonymes (certaines étant probablement composées par Rost lui-même).

L’association de ces deux auteurs – parfaitement contemporains et complémentaires – donnera aux auditeurs l’occasion de découvrir toute la fraîcheur d’un répertoire inédit parmi les plus précieux de l’art rhénan.

Création surround : Les murmures de la Neuenbourg

Parcours créé en collaboration avec :

Nathalie Meyer : Œuvres céramiques
François Gorissen : Comédien
Romain Muller : Créations sonores
Direction artistique : Pays d’art et d’histoire – CCRG
Soutient technique : CCR les Dominicains de Haute-Alsace

Le projet :

Le parc paysager est une invitation bucolique à ralentir le rythme et à observer la nature et l’architecture en pleine conscience.
Ce cadre magnifique accueille une installation céramique et sonore rendant perceptibles les murmures de la Neuenbourg…
Prenez le temps d’observer les œuvres céramiques de Nathalie Meyer. Huit créations ponctuent le parcours le long de la terrasse du château et dans le parc.
Grâce à l’utilisation de différentes techniques céramiques, la terre, les minéraux et la flore du parc marquent ces œuvres.
Ces références se retrouvent également dans les formes et les couleurs des pièces de trois dimensions : bourgeons de plantes, formes de roche, couleurs blanches, noires et nuances de bleu, vert d’eau et effets de cristallisation.
Ces effets et jeux de matières créent des surprises subtiles au sein du parc.

Portez maintenant votre attention aux murmures transmis par ces œuvres… Trois créations réalisées en collaboration avec Romain Muller, animeront le parcours…

Tout au long de la journée, de 10h à 17h30, « Le Murmure végétal » dévoile les sons de la nature et de la vie dans le parc qui interagissent avec la musique électronique.
Nature et création humaine se mêlent en harmonie soulignant la musicalité des bruissements, clapotis et gazouillis du parc. Laissez-vous transporter jusqu’au cœur de la Neuenbourg.

À 16 heures, les familles découvriront « La quête du jardinier », une aventure botanique.
Lieu de prélassement bucolique, le parc de la Neuenbourg est également un lieu d’innovation et de créativité. Laissez-vous conter l’aventure du jardinier Gustave Reinbold pour en savoir plus !
À travers son périple, vous découvrirez la Guebwiller industrielle, la vie au XIXe siècle et rencontrerez des personnages exaltants tels que Henry Schlumberger, le professeur Fée mais aussi l’inquiétant douanier des États allemands…

La contemplation champêtre se poursuit à 17h par un peu de « Philosophie naturelle », grâce aux poèmes de l’Offrande Lyrique de l’auteur indien Rabindranath Tagore.
Prix Nobel de Littérature, il porte un regard méditatif sur la nature et le temps. Il propose ainsi de vivre sa vie dans la paix, au rythme de la Nature et des saisons.
Ses observations de la Nature et des émotions humaines invitent les lecteurs à chercher leur divinité personnelle et intérieure.
Influencés par le mysticisme et la musique populaire du Bengale, ses poèmes se teintent de lyrisme propice à la contemplation.

– Extraits stéréo –

– Presse –

Enregistrement CaSH – 1er EP

Un extrait de cet album est disponible dans l’onglet playlist – morceau numéro 37

Musiciens :

Loïc Rouault
Lériks

Techniciens :

Romain Muller : Prise de son / mixage @ Studio 
JB Juszczak : Editing @ Studio 

Le projet :

Du punk brut de décoffrage.

Enregistrement Eraslan – Frith – Malmendier – Weil_There or here and that

Un extrait de cet album est disponible dans l’onglet playlist – morceau numéro 36

Music :

Anil Eraslan : Cello, fx
Fred Frith : Electric guitar
Tom Malmendier : Drums
Clara Weil : Voice

Tech :

Recorded by Romain Muller, Studio NAC, Strasbourg
Mixed by Myles Boisen, Guerilla Recordings, Oakland
Mastered by Myles Boisen, Headless Buddha, Oakland
Artwork by Emilie Škrijelj

Le projet :

« De bout en bout, ça crépite, ça jaillit, ça coupe le souffle. L’esthétique ? Difficile à dire. De l’électronique ? Du rock ? Certains parlent de punk… Oui, il y a sûrement tout ça et peut-être d’autres ingrédients. Du blues ? Pas une once. À l’image des jeunes créateurs d’aujourd’hui bien des influences sont enchevêtrées, mais le projet est d’abord et avant tout de l’improvisation.
C’est l’assemblage des timbres, des granulations, des stridences, des salves de particules sonores, des mitrailles percussives, des murmures… qui fait musique. »

-> Suite de la chronique sur Citizen Jazz <-

Création surround Gélatina

Spectacle immersif jeune public

L’équipe :

Beatriz Gutiérrez : Auteur, interprète et écrivain de plateau
Jean Lucas : Auteur, compositeur, trombone live et écrivain de plateau
Romain Muller : Compositeur, mise en espace quadriphonique
Xavier Martayan : Auteur, éclairagiste et écrivain de plateau
Anne-Marie Chlapanas : Auteur et scénographe
Sabine Grislin : Interprète et écrivain de plateau
Mathieu Lionello : Régisseur lumière et écrivain de plateau
Raphaël Siefert : Machiniste, technicien plateau et écrivain de plateau
Pierre Chaumont (Le Scénoscope) : Constructeur support
Zabou : Confection des costumes

Une production Compagnie les gladiateurs
Coproduction pôle culturel Le Diapason de Vendenheim avec le soutien de la salle des spectacles Europe de Colmar et du théâtre Le Point d’Eau d’Ostwald. Plateforme d’aide à la diffusion : quelspectacle.com

Le projet :

Gélatina est un projet interactif mêlant créations lumière et musicale.
Il s‘agit d’un spectacle où la narration se construit au contact d’objets particuliers : des méduses.
Éveiller les sens des plus petits au contact de la matière en les invitant à se plonger dans un monde en volume dans lequel chaque interaction avec le décor déclenche une certaine lumière ou un son inédit.
Les jeunes spectateurs feront ainsi l’expérience de matières drapées dans des lumières sculptantes et entourées par de la musique live et en quadriphonie.
Pour les 3 à 5 ans.

Enregistrement Æncre – Teaser

L’équipe :

Adeline Dillenseger : Flutes, accordéon, chant
Elisabeth Kurst : Guitare, bodhran, podorythmie, chant

Réalisation : Michel Kurst
Son : Romain Muller
Lumière : Loic Hollender

Le projet :

Æncre est un duo folk, néo-trad.
Aux six instruments et deux voix mêlées.
Puisant leurs inspirations dans les répertoires de musiques traditionnelles d’Amérique du Nord, de France, d’Irlande et des musiques actuelles ; elles composent un répertoire d’airs et de chansons à rire, à boire et à pleurer.
Æncre, c’est l’ancre que l’on lève pour aller découvrir de nouveaux horizons, l’encre qui a rendu immortels les récits d’autrefois.